10.08.2016
Dans une vitrine que je connais, comme, je suppose, dans beaucoup d'autres, existe un livre pour enfant intitulé “Le mystère des papas”. Évidemment, les deux finales ne sont pas à leur place ; il suffirait pourtant de les déplacer d'un seul cran pour que se mettre à écrire devienne possible ; qu'elles occupent une position très légèrement différente pour que naisse à nouveau l'envie d'être lecteur. Sans doute, “Les mystères de papa” eût été meilleur. “Les mystères de papa” nous eût peut-être fait sourire, ou affligé, ou encore, le cas échéant, repoussé, mais “Les mystères de papa” ne nous eût jamais laissé indifférent.